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 HISTOIRE DE NOTRE TEMPS : La torture

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pequena teigna
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MessageSujet: HISTOIRE DE NOTRE TEMPS : La torture   HISTOIRE DE NOTRE TEMPS : La torture EmptyDim 29 Oct 2006 - 16:07

Les tortures de pirates



Nombre de pirates, pour se faire respecter, et aussi et surtout pour conserver leur notoriété absolue étaient capable de cruauté incroyable et exerçaient des châtiments sadiques.
Les témoignages de marins, obligés de manger des blattes, d'avaler leur sang après qu'on leur ait cassé des dents, n'étaient pas rares. Sans compter certains châtiments plus terribles ou les chances de survivre étaient minces :





La victime était allongée dans la grande cale, attachée à chaque extrémité de ses membres par des cordes tendues de manière à ce qu'elle décolle du plancher.
4 pirates, planche de bois à la main, ne frappaient pas la victime, mais pire encore, frappaient violemment les cordes tendues. Les vibrations parcouraient tout le corps du torturé provoquant des micro-hémorragies internes.


Le coupable, attaché à l'extrémité de la grande vergue était laissé tombé brutalement dans l'eau.


La bouline ou l'homme devait passer entre une double haie de matelots qui le frappaient avec un morceau de filin.
bouline : manoeuvre amarrée à une voile, pour lui faire prendre le vent le mieux possible.


Des victimes étaient abandonnées sur une ile déserte... c'est bien connu. Mais ce que beaucoup de gens ignorent, c'est que les pirates avaient pris le soin auparavant de leur mutiler le nez et les oreilles.


Le prisonnier, attaché au cabestan, se faisait lyncher à coup de tessons de bouteilles. Des insectes étaient ensuite déposés sur ses plaies...


En 1695, le capitaine Sawbridge est capturé par le pirate Edward Low, lorsqu'il transporte à Surate de chevaux arabes. Ce capitaine proteste et se défend comme il peut, mais ne cessant de parler, les pirates lui cousent les lèvres avec du fil et une aiguille à voile. Il assistera, les mains liées derrière le dos et la bouche close, à l'incendie qui réduit en cendre son navire et sa cargaison.


Navire brûlé avec les hommes enchaînés à bord. Le capitaine ayant les 4 membres tranchés.


Quand il s'ennuie, Barbe-Noire tire dans le noir sur ses marins pour observer l'impact de ses balles sur leur peau. Il se justifie de cette phrase : " Si je n'en tuais pas un de temps en temps, ils finiraient par ne plus savoir qui je suis. "


Edward Low, en 1723, fait courir ses prisonniers sur le pont de manière que l'équipage ait le plaisir de les larder de coups de couteau. On prétendit qu'il avait un jour découpé les lèvres d'un prisonnier pour les faire cuire devant lui, et coupé les oreilles d'un autre pour les lui faire manger à la croque au sel.


Rock Braziliano, bestial ivrogne, avait poussé l'horreur jusqu'à faire griller à la broche deux fermiers qui avaient refusé de lui céder leur bétail.


Le chat à neuf queue. Il s'agit d'un fouet à neuf cordes ou lannières de cuir auxquelles des objets coupants pouvaient être ajoutés. Peu y survivèrent.


La grande Cale : le prisonnier était déshabillé puis accroché à une corde à ses pieds et ses mains. Il était balancé par dessus bord et les pirates le faisaient passer sous la coque recouverte de coquillages tranchants. Le prisonnier se retrouvait lasséré et était récupéré de l'autre côté du navire.


Le fouet : le pirate ou prisonnier était souvent puni de 39 coups de fouets. Jamais au delà de 39, car selon l'Ancien Testament, un homme ne peut supporter plus de 40 coups de fouet sans mourir.


Le supplice de la planche quand à lui ne serait que dans l'imagination des romanciers... mais on raconte que Bartholomew Roberts força un prisonnier à marcher sur la planche.
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